Myriam Giancarli

Myriam Giancarli : Souveraineté sanitaire et investissement durable

La souveraineté sanitaire se présente aujourd’hui comme une réponse pragmatique aux fragilités structurelles des systèmes de santé africains, et Myriam Giancarli s’y engage avec une approche combinant impact social et performance économique.

Répondre à l’urgence par la capacité locale

Choléra, mpox, crises hydriques : les chiffres récents dévoilent des vulnérabilités que l’aide internationale ne parvient plus à combler. Myriam Giancarli propose une voie alternative : renforcer la production pharmaceutique sur place. Loin de l’image d’une philanthropie déconnectée, cette démarche articule des solutions concrètes à l’urgence sanitaire, tout en créant des chaînes de valeur ancrées localement.

Investissement à double dividende

À travers des cliniques mobiles, des programmes de dépistage et des campagnes de sensibilisation, l’action de Giancarli va au-delà de la simple production. Ces initiatives réduisent les inégalités d’accès, renforcent la confiance des communautés et créent un environnement propice à des investissements responsables. Pour les acteurs financiers, le modèle offre une forme de résilience : conjuguer rendement et contribution sociale mesurable.

Leadership et gouvernance éthique

Dans un secteur parfois critiqué pour son opacité, Myriam Giancarli incarne une gouvernance fondée sur la transparence et l’interrogation des pratiques établies, notamment autour des brevets et des génériques. Ce positionnement attire des investisseurs institutionnels en quête de projets alignés sur des standards ESG solides et de partenariats locaux crédibles.

Une réponse intégrée aux risques systémiques


Face aux menaces que sont la fermeture des routes, les pénuries de vaccins ou l’essoufflement de l’aide extérieure, l’approche Giancarli construit des capacités locales capables de tenir. L’investissement devient ici un levier d’autonomie, au croisement des impératifs sanitaires et de la robustesse économique.

La souveraineté sanitaire cesse d’être un mot d’ordre abstrait pour devenir une architecture opérationnelle, portée par une vision où l’impact social et la performance se renforcent mutuellement.

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